Un topo plus complet sur la qualité , le poids.... , de 
nos photos .Attention, il y a forcément des erreurs , merci de les signaler ! 

1/Donc munissez-vous d'une aspirine ; car pour commencer on va parler de distance 
focale d'un objectif ! Il s'agit de la distance à laquelle se crée une image qui 
vient de très loin, on va dire à l'infini ! Pas besoin de dessin, hein ? On voit 
bien la lentille, les 2 traits parallèles , l'image ....Auparavant et je 
m'en excuse il faut connaître l'égalité fondamentale 1/F=1/p+1/p' : F étant la 
distance focale, p la distance lentille -image et p' la distance de l'objet à 
la lentille . On voit , miracle !!que ( 1/p+) (1/p') reste constant quelque soit 
p et p' .Ainsi si l'on "agrandit p .....1/p diminue, 1/p' doit alors augmenter 
pour que l'addition 1/p+1/p' soit constante , et ainsi p' diminue ! Ceci est une 
constante, et personne , que je sache, ne sait l'expliquer bien que l' on retrouve 
la même chose dans de nombreuses situations physiques, comme par exemple la résistance 
électrique pour 2 résistances branchées en parallèle!! La distance focale F est 
donc donnée par 1/F=1/p+1/p ' p la distance lentille -image et p' la distance 
de l'objet à la lentille . Ce rapport 1/F est constant donc pour une lentille 
donnée , et on voit que lorsque l'objet est à l'infini p est très grand et 1/p 
s'approche de zéro , on a alors 1/F=1/p' et F=p' la distance focale est aussi 
la distance image- centre de la lentille lorsque l'objet est à l'infini ! Pour 
un capteur donné 24x36 mm par exemple comme les anciennes pellicules argentiques 
, cette distance focale déterminera aussi l'angle de prise de vue .Une focale 
de 18 mm permettra une prise de vue avec un angle important , d'où le qualificatif 
de grand angle, au contraire , un 100mm aura un angle étroit , tout le monde le 
sait ... Mais ceux qui ont connu le format 24x36 mm (c'est la taille du négatif 
photo) savent qu'un 18 mm là dessus donne un très grand angle à tel point que 
l'image est déformée pour un 18 mm par exemple ,alors qu'un 18 mm sur un capteur 
ccd de 24x16 mm ne donnera qu'un angle moyen qui ne déforme pas, lui ! Les fabricants 
ont donc inventé un coefficient ;sur les Canon c'est 1. 5 , c'est à dire qu'un 
18 mm sur le capteur de 24x16 est équivalent à un 18x1.6=28.8mm est donc équivalent 
à un 29 mm sur un 24x36 . Le capteur ccd sur un Canon est de 24x16 ( ou pas loin, 
en réalité il est un peu plus petit ;c’est un exemple) ce qui donne une diagonale 
de rac(24²+16²) =28.8 La diagonale d'un rectangle de 24x36 est rac(24²+36²)=43.2 
, le rapport de ces 2 diagonales donne bien 43.2/28.8=1.5 . C'est pour cette raison 
que ceux comme moi qui ont connu les 18 mm de l'époque savent que celui ci était 
un sacré grand angle sur les pellicules 24x36 , mais beaucoup moins sur les capteurs 
actuels plus petits .. Ainsi , la grandeur d'un capteur est un gage de qualité 
sur un appareil : mais il y a aussi le nombre de photosites par mm² évidement 
qui va influer directement sur la qualité de l'image . Un photosite donne au final 
1 pixel sur la photo ! Il faut savoir que pour l'époque, on ne peut mettre trop 
de photosites par mm² car le signal peut alors être détérioré , il y a un juste 
milieu à trouver ! De plus sur les capteurs cmos,(canon) une partie de la surface 
du photosite est consacrée à un pré-traitement informatique ! . Je vous invite 
à lutter contre les mesures en pouce qui sont illégales normalement , et qui ont 
pour seul but quelquefois, d’embrouiller le client .Employez mètres, secondes 
et grammes ce sont les mesures officielles. 1 pouce=2,54 cm 
2/Donc parlons de 
la qualité d’un capteur ccd . Les premiers capteurs avaient une mauvaise plage 
dynamique, c’est à dire ne permettaient pas une large lecture dans les tons . 
Sur une même photo c’était par exemple peu de détail dans les ombres , et rien 
non plus dans les hautes lumières . Ca se traduit pas des ombres noires, et un 
ciel blanc , sans détail comme la présence de nuages par exemple ! Cette plage 
dynamique se mesure en divisions sur l’échelle des diaphragmes . Par exemple les 
films négatifs argentiques, notamment les noirs et blancs supportaient jusqu’à 
12 échelles des diaphragmes . On appelle ça aussi la latitude dynamique . Un capteur 
moderne de qualité, est maintenant à peu près équivalent aux films argentiques 
en matière de plage dynamique , et l’utilisation du HDR (high dynamique range) 
avec ses 3 ou plus prises de vues va sans doute sceller le sort du négatif argentique 
. Avec ce principe, le capteur fait un bond de géant pour la grandeur de sa plage 
dynamique !!A savoir qu ‘il existe des négatifs 60x60mm , je pense au fameux Hasselblad 
, alors là la qualité est imbattable . C’est le gros avantage du film argentique, 
de pouvoir augmenter la taille du capteur très facilement (rappelez-vous les anciennes 
photos avec le photographe entouré d’un voile noir , le capteur était immense 
!). Le seul défaut que je connaisse à ce principe,(hdr) c’est qu’il est compliqué 
de prendre des sujets en mouvement pour l'instant .Mais je crois que sous peu 
, des marques vont nous proposer un appareil qui prend 3 photos en rafale , avec 
peu de temps entre chaque photo .1/1000 sec par exemple .Ainsi 3 photos prises 
au 1/250 sec dureront en fait 3x1/250 + 2x1/1000 =à peu près 1/80 de sec. A noter 
aussi la photo mégapixel ou panoramique qui permet d’intégrer par exemple 4 photos 
, il faut prendre ces 4 photos avec un pied , une vers le bas , une vers le haut 
, de même en bougeant à droite (haut et bas) il faut que ces photos se chevauchent 
disons ¼ , Ceci a au final le même effet que de multiplier par 1.5 la taille du 
capteur , c’est donc très intéressant pour la photo de paysage !Une autre façon 
de lire les photos panoramiques avec des exemples , les calanques de Marseille 

L'ouverture. On voit que cette ouverture correspond 
en fait à l’angle créée par le point sur l’image et les 2 droites qui partent 
de ce point vers les 2 parties opposées de la lentille (le diamètre) .

Plus cette 
angle est grand , plus la profondeur de champ est faible .Le photographe recherche 
souvent cet effet de faible profondeur de champ . L’idéal pour ça c’est d’avoir 
une ouverture de 1 , par exemple pour un 50mm , le diamètre ferait 50mm aussi 
.je ne cois pas que cet objectif existe, les meilleurs objectifs sur le marché 
ont une ouverture à 1.4 , et sont très chers ! Sur les zoom , l’ouverture max 
est souvent décevante :3.5 en position 18mm , et 5.6 en position 135 mm sur mon 
zoom, par exemple . Il ne faut donc pas s’équiper avec ce genre d’objectif si 
l’on veut facilement avoir une faible profondeur de champ . Il faut donc acheter 
un objectif avec une focale fixe, certaines marques proposent des 35 mm avec 2 
d’ouverture , c’est un bon compromis, ils ne sont pas trop chers . Pour l’angle 
de prise de vue correspondant voir donc le facteur de conversion que donne le 
fabricant .. Pour ce qui est du piqué ! La difficulté pour un objectif est de 
faire se former l’image au même endroit quelque soit la couleur .On le sait depuis 
Newton, la lumière rouge n’est pas déviée de la même façon dans le verre que la 
lumière bleue .d’où la présence de ces magnifiques arc-en-ciel , très difficiles 
à prendre en photo d’ailleurs ! Alors , grâce à l’associations de plusieurs lentilles 
, on arrive à focaliser à peu près au même endroit le bleu et le rouge !! Pour 
moi c’est un peu comme avec le vin, n’étant pas connaisseur , si je veux un vin 
de qualité, je le prends ..cher , c'est un peu la même chose pour les objectifs, 
s'ils sont chers , on suppose (et espère) qu'ils sont de bonne qualité !!! Intervention 
d'ol4n sur les mires" Le piqué est la chose la plus facile à mettre en évidence 
en photographiant une mire et donc c'est un argument facilement mis en avant mais 
qui photographie de façon courante des objet absolument plats et immobiles ? Un 
objectif ne donne jamais son meilleur à pleine ouverture il faut toujours fermer 
un peu le diaphragme et c'est plus facile de fermer un peu avec un objectif à 
1.8 qu'avec un zoom qui ouvre au maximum à 3.5 ou 4.5. De plus les système d'autofocus 
ont besoin de lumière pour être efficaces et donc ils le sont plus avec des objectifs 
plus ouverts. A f/8 on est généralement au top de l'objectif. Donc à moins d'être 
en lumière faible ou d'avoir besoin de réduire la profondeur de champ, il faut 
éviter de shooter à l'ouverture max. Les plus grands ennemis du piqué sont : une 
mauvaise mise au point, une profondeur de champ trop faible, un sujet qui bouge 
ou un photographe qui tremble. Un photographe qui shoot à pleine ouverture en 
pleine lumière ! Concernant les 50 mm fixes ou 35 mm en dx, une ouverture de f/1.8 
c'est déjà pas mal pour s'amuser avec la PDC et ces objectifs restent très abordables, 
un pas en arrière ou un pas en avant et ça fait même zoom ! Le prix des objectifs 
est évidement en général une indication sur leur niveau, mais pour autant un objectif 
cher n'est pas forcément le mieux pour vous. Perso je préfère me promener avec 
un 50 mm 1.8 à 100 € vissé sur le boitier et un 24 dans la poche qu'avec un super 
zoom pro 24-70 2.8 à 1500 € et qui pèse 3kg. Un bon objectif est un investissement 
contrairement à un boîtier qui sera vite dépassé par les nouveautés. J'ai revendu 
des objectifs au prix où je les ai acheté 10 ans plus tôt. « Fin d’intervention 
de 0l4n. 4/Pour continuer , il faut bien sûr parler de la compression de ces photos 
. La dynamique de l’image est le nombre d’octets pour coder les informations sur 
la couleur d’un pixel .Plus ce nombre d’octets sera grand , plus la photo sera 
lourde (on ne parle pour l’instant pas de compression). Le nombre de pixels est 
donné par le nombre de photosites , mes photos font par ex 5184 pixels sur 3456 
colonnes soit près de 18 millions de pixels . Ce que j’ai compris c’est que si 
la couleur est codée en vraie couleur :16 millions de couleurs ; (2 à la puissance 
24 à peu près) , ainsi le nombre 16777216 s’écrit en base 2 avec 24 chiffres c’est 
100000000000000000000000 ; le bit étant le zéro ou le 1 . Chaque pixel a alors 
24 bits comme 1 octet=8 bits , une photo qui fait 5184 pixels sur 3456 lignes 
en codage 16 millions de couleurs (24 bits) pèsera, sans compression 5184x3456x24 
= 429981696 bits soit 53747712 octets soit 53 millions d’octets , 53 mégaoctets 
. C’est je le répète la taille théorique sans compression. Chaque fabricant nous 
propose son mode de compression avec une extension de fichier différente (cr2 
pour Canon …) Le raw est le nom générique à ces fichiers peu compressés . Photoshop 
propose aussi le .tiff . Le raw , on voit qu’il comprime la photo , tout de même 
, car chez moi, par exemple une photo raw fait 28 mo (au lieu de 53 valeur théorique 
sans compression) .Mais on dit que le raw est une compression non destructive 
, au contraire du format .jpg . Beaucoup de photographe préfèrent travailler avec 
le raw qui contient donc plus d’informations . Alors il y a plusieurs sortes de 
compression .jpg :photoshop propose par exemple la compression de base , de base 
optimisé ou progressif optimisé , je ne sais pas ce que cela veut dire , on règle 
aussi la qualité de 1 à 12 , ce qui va influer directement sur le poids . A noter 
que pour diminuer le poids, on peut diminuer le nombre de pixels aussi . Je disais 
, ici, qu’il ne sert pas à grand chose de regarder une image qui fait 18 millions 
de pixels(5134x3456) sur un écran d’ordinateur qui n’en contient que 1284x1024 
. Si tout de même , car on va pouvoir zoomer sur la photo et avoir des détails 
... A noter que des photos simples comme par exemple un ciel bleu seront moins 
lourdes que des photos plus « compliquées » .. Le jpg va exprimer, par exemple 
que de tel endroit jusqu’à tel autre c’est le bleu codé101010101010101010101010 
, le raw lui va dire , ce pixel est bleu codé…….. , ce pixel est bleu codé……. 
, ce pixel est bleu codé……... il passe en revue tous les pixels ! avec la possibilité 
d’avoir des nuances de bleu qui semblent invisibles à l’œil , avec donc un codage 
légèrement différent ! Ensuite , il y a évidemment la façon de lire ces photos, 
soit sur un écran , soit sur papier , où il fait aussi parler de définition en 
pixel au mm² et non de nombre de pixels par pouce carré (ppp ), même si c’est 
pourtant l’usage .. A noté que de donner une définition en pixels au mm² ou au 
mm ou pixels par pouce ne veut rien dire pour un fichier photo qui est sur le 
disque dur . Il faut qu'il soit lu sur un écran ou du papier , évidemment .Mon 
écran par exemple fait 410mmx260mm soit 106600mm² ; il a 1280 pixelsx960 =1228800 
pixels , sa définition est de 1228800/106600=12 pixels par mm² , moi 12 pixels 
par mm² ça me parle plus !!! On peut aussi calculer 1280pix/410mm = 3 pix/mm 3 
pixels par mm , en définition horizontale (la verticale est la même !). Sur un 
pouce(25,4mm) ça fait 3x25.4=76.2 pixels par pouce .Par exemple 72pixels par pouce 
, c’est la manière de donner l’image sur l’écran par photoshop (l’ancien) , ce 
qui veut dire 72 pixels par pouce et non pouce carré ! Retenons que 72 pixels 
par point (ppp en français mais ppi en anglais) c’est à peu près l’affichage standard 
1280pixelsx960 ; et 300 pixels par point ce sera pour sortir une image de 5184 
pixelsx3456 par exemple ! Mais c'est surtout , le nombre de pixels qui est important 
.On pourra toujours faire imprimer sa photo par un professionnel et avoir un bon 
rendu , alors qu'une photo à faibles pixels ne pourra pas donner grand chose même 
si on a une imprimante dernier cri !!La qualité pour une imprimante est donnée 
en point par mm² , ou plutôt points par pouce (Attention ça s’écrit pareil que 
ppp , histoire d’embrouiller , d’où l’intérêt de rester en milimètres …)... Mais 
les points par pouce sont équivalents aux pixels par pouce des écrans, pour une 
imprimante on dit points par pouce , ou dpi en anglais (dot per inch) .L’abbréviation 
pixels par pouce (ppp) est la même que point par pouce (ppp), mais ce n’est pas 
très grave, au final c’est la même chose . Comme 1 pouce=2.54cm ; 1pixel par pouce=0.39 
pixels par cm , 72 ppp=28pix par cm.. Le pouvoir de résolution, ou pouvoir de 
séparation, ou la résolution spatiale, est la distance minimale qui doit exister 
entre deux points contigus pour qu'ils soient correctement discernés par un système 
de mesure ou d'observation.( Wikipédia) .Le pouvoir de résolution de l’œil étant 
de 0.017° ; Cette distance sera de tan(0.017)x300mm= 0.1mm environ , si on regarde 
l’écran à 300 mm …Evidement à 3000mm(3m) elle sera 10 fois plus grande soit 1 
mm .. Ainsi à 30 cm on ne pourra de toutes façons voir que 10 pixels par mm ; 
ce qui fait 254ppp .Donc une photo imprimée à 300ppp et plus n’a pas vraiment 
d’intérêt , sauf si l’on regarde de plus près que 30 cm ou avec une loupe ..Mais 
ça c’est du calcul, je suis certain qu’une image vues à 30cm et 600ppp nous paraîtra 
plus « piquée » qu’une image à 300 ppp .(A vérifier) . Je confonds points par 
pouce et pixels par pouce exprès , au final c’est la même chose , les pixels sont 
pour les écrans , les points pour les imprimantes , mais on pourrait bien dire 
pixel pour une imprimante. En math c’est du niveau 3ème , on écrit pixel/pouce= 
pixel/pouce ; (se prononce pixel par pouce , ou pixel divisé par pouce) Ainsi 
si l’on veut des pouces on écrit (on fait passer divisé par pouce de l’autre côté 
,ce la devient multiplié) pixel=(pixel/pouce)x pouce , ce qui veut dire que si 
l’on veut obtenir des pixels on multiplie des pixel/pouce par des pouces . Exemple 
; combien de pixels fera une photo de 300 pixel/pouce qui mesure 10 pouces : résultat 
: 300ppp x 10pouces=3000pixels. L’image fait 3000 pixels. Si l’on veut des pouces 
; de pixel/pouce= pixel/pouce on tire avec le même principe (qunad on fait passer 
divisé par de l’autre côté , il devient multiplié) pouce=pixel/(pixel/pouce) c’est 
à dire pouce=pixel divisé par (pixel par pouce). Exemple :combien de pouces va 
mesurer une photo tirée à 300pixel/pouce qui fait 6000 pixels .Résultat en pouces 
>>> 6000px/300ppp =20 pouces .Elle mesurera 20 pouces (50,8 cm avec la qualité 
300ppp ou 300dpi sur l’imprimante) , et on pourra donc la voir jusqu’à 30 cm en 
qualité maximale pour l’œil .On a de suite à 150dpi(ou ppp) :101,6 cm …. On fait 
exactement pareil en remplaçant pouce par cm : pixel=(pixel/cm)x cm et , cm=pixel/(pixel/cm)>>>> 
Si on veut une distance en cm on divise des pixels par des pixels par cm … A noter 
, une nouveauté, l'appareil Lytro qui permet une mise au point où l'on veut, après 
avoir pris la photo, sans se soucier de la mise au point pendant la prise de vue. 
C’est un traitement informatique de l’image qui le permet . Ainsi, une fois la 
photo prise , grâce à un logiciel, on peut déterminer où se trouve la netteté 
de l’image, en rendant un portrait net , et l’arrière plan flou , ou même l’inverse. 
Ce peut être même une nouvelle façon de lire les photos, des exemples sont sur 
le site : https://pictures.lytro.com/ (cliquez sur les photos pour changer la mise au point ) Une autre 
percée très importante à suivre, c’est les lentilles souples . Pour déterminer 
la mise au point, les lentilles se déforment , imitant l’œil et le cristallin 
qui se déforme suivant que l’on regarde à 1m ou plus loin .Avec l’âge, ce cristallin 
ne peut se déformer assez pour des distances courtes , et on voit flou comme moi 
, en dessous d’1 m50 .(sans lunettes). Voir le fabricant français Varioptic et 
la société norvégienne Polight . L’intérêt est aussi que l’on peut faire une mise 
au point très rapide , car la déformation est commandée par un système électronique 
avec une tension électrique appliqué sur une lentille polymère . .On pourrait 
(ou on peut , il faut suivre …) prendre en rafale plusieurs photos à des distances 
de mise au point différentes . Puis choisir la meilleure, ou à l’instar du hdr 
, combiner ces plusieurs photos ! Ce procédé est adaptable , pour l’instant uniquement 
sur les lentilles style smartphone . 
Je n'ai pas parlé de la qualité de la prise 
de vue (pas de bougé , vitesse assez rapide) , bonne mise au point . Sur nos reflex, 
la mise au point se fait grâce à un système de lentilles au milieu de l’objectif 
. Ce système peut bouger manuellement ou être piloté par l’autofocus , pour faire 
la mise au point .Sur mon Canon , il y a un zoom numérique, cela permet de vérifier 
si la mise au point est bien faite . On zoome à fond , et on regarde sur l'écran 
LCD si l'image est bien nette . IL faut avoir un trépied , si l’on zoome à fond. 
On peut aussi sélectionner plusieurs modes de mise au point autofocus, en choisissant 
un point précis ou plusieurs points dans le collimateur ..Donnez donc une grande 
importance à cette mise au point , surtout si vous travaillez à grande ouverture 
, et évitez le bougé en choisissant la photo au trépied, et ou, en mettant une 
vitesse assez rapide ..On atteint facilement 1/8000 de sec , mais il faut alors 
ouvrir en grand et monter les iso , à cette vitesse ; ce qui affaiblit la qualité 
de l’image ! Ceux ci montent automatiquement quand le réglage iso est sur auto 
… Je finis sur le projet aware 2 , c’est une seule optique couplée à 100 capteurs 
de 14 mégapixels chacun . Le tout est mélangée via un logiciel qui fournit alors 
une photo de 1400 mégapixels (1,4 gigapixels) sur laquelle on peut zoomer . Cet 
appareil de la taille d’une machine à laver est sans doute destiné à la surveillance. 
Citons quand même, mais là ce n’est plus la même cour de récré les télescopes, 
à optique adaptative .Il s’agit de petits pistons qui équipent ces miroirs, ils 
compensent ,en déformant intelligemment le miroir, la turbulence atmosphérique 
auparavant analysée par un analyseur de front d’onde qui estime la perturbation 
de la lumière due à l’atmosphère ! J’aimerais voir ce que cela donnerait, si l’on 
pouvait braquer ces télescopes sur Terre …